Bienvenue dans le royaume des Drakons |
| | Darkfrith
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| Vieux château fort que la famille royale des Drakons s'est approprié en arrivant sur l'île. Les murailles du sinistre lieu sont entourées d'un épais brouillard et donc invisibles pour l’œil humain. On y trouve notamment le marché aux esclaves, seuls humains à avoir vu le château de leurs propres yeux.
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| Ancienne capitale de l'île, maintenant, cette ville est devenue l'une des places fortes des Drakons. Gouvernée par le Clan royal et le roi Drakon, les natifs de la ville y vivent l'enfer. Des touristes arrivent encore par la mer en méconnaissance de ce qui se passe ici.
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| La baie avec sa plage constituent une ouverture sur la mer par excellence. Petite ville prospère au sud de l'île et ancienne capitale de l'île, ses ruelles sont étroites, c’est le territoire des Cadfael, les Drakons noirs et obscurs. Le château de Rushen est le second plus grand de l’île, avec ses six tours en pierre ancienne construites à l'image de celui de Peel.
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| Petite ville du nord de l'île qui possède l'un des ports les plus importants, autrefois un passage vers l'Ecosse. L'une des places fortes des Drakons sur Darkfrith, la province est gouvernée par les Drakons bleus. Ici les esclaves semblent même heureux pour certains. Entouré de collines verdoyantes, ce lieu est l'un de plus resplendissants de l'île.
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| Cet endroit est peuplé en grande partie par des Drakons natifs d'Irlande. C'est ici près des vagues que le nom Glanmor prend tout son sens... En effet, le second Clan royal a reçu cette terre du Roi Drakon lui-même. Dans leurs rangs règne une discipline de fer imposée par l'Alpha.
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| Cette terre qui appartient désormais aux Drakons rouges carmins est surtout une contrée reculée où les tortionnaires sont légion. Bordée par le mont Snaefell et par la mer, cette terre ne semble pas pourvue d'échappatoires possibles. La soif de violence de ses maîtres fait de cet endroit, le plus sinistre de l'île.
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Le point culminant de l'île. Malheureusement l'un des derniers vestiges d'un paysage magnifique et l'un des seuls endroits où la nature peut encore s'épanouir. La présence du dernier clan de Sidhes vivant autrefois sur l'île doit en être la cause, leur magie semble encore présente ici.
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La ville souterraine proche de Douglas abrite les nouvelles générations d’humains qui vivaient autrefois sur l’île. On y accède par un petit passage, une plage au sable fin et doré, quelque part dans une caverne lugubre et humide. Ce lieu est secret, c’est ainsi que ses habitants s’assurent de leur survie. Tobias et Elinor dirigent les survivants. Cette ingénieuse cité se suffit à elle-même à l’exception de quelques raids...
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| Bienvenue mes créatures sur les terres maudites des Drakons. Misérables que vous êtes, oserez-vous mettre les pieds sur cette île? Une île peuplée de prédateurs? Nos membres ont posté un total de 208 messagesNous avons 8 membres enregistrés L'utilisateur enregistré le plus récent est CrowamyrapIl y a en tout 4 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible et 4 Invités
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| | J’ai parfois survécu comme par miracle à un naufrage. D’autres fois, j’ai brisé mes chaînes pour m’évader, cas ô combien rare, nous le savons tous… Jadis, je me cachais dans les montagnes, aujourd’hui, nous sommes plus nombreux et unis pour survivre dans notre grotte secrète où nous ne craignons pas la colère de ces créatures. Tobias et Elinor sont ceux qui nous guident désormais, le premier est un chef avisé que nous respectons. On suppose, à tort ou à raison, que des Nephalems qui ignoraient leur nature aient rejoint nos rangs mais cela, vous le découvrirez... Avec les années, j’ai compris que la lutte ne menait à rien avec les puissants Drakons, aussi, je préfère généralement la fuite. La confrontation est pour moi le dernier recours, un combat sans autre espoir que celui de ma survie. La Déesse mère elle-même nous a créés en même temps que la faune et la flore. Nous étions déjà là lorsque les terribles Drakons sont venus ravager notre monde. Autrefois nous étions de diverses castes, mais seuls leur ont survécu, les mystérieux Druides grâce à leurs vastes connaissances et leur puissante magie. D’abord soumis à nos maîtres ailés, nous nous sommes révoltés et avons été massacrés, puis, les survivants ont transmis leur héritage aux générations suivantes, ainsi nous sommes toujours là, nous pouvons guérir comme empoisonner. Je suis du Clan des Lukwos, mon animal totem est le loup, j’ai le pouvoir de la métamorphose jusqu’à ne faire plus qu’un avec la bête. Il y a 3 autres clans, il vous appartient de lire leur histoire méconnue. Nous avons néanmoins, tous, un pouvoir d’empathie entre nous et surpassons aisément les humains mais ne sommes pas de taille contre nos ennemis ailés. Nous préférons la nature aux métropoles modernes bien qu’un des Clans maîtrise la technologie. Mais tout cela, c’est à vous de le découvrir si vous souhaitez nous rejoindre et vous opposer à la suprématie drakonnique. Je connais la légende comme beaucoup, cette est terre effrayante mais ce ne sont que des sornettes, des dragons, vous y croyez, vous ? Je m’aventure rarement hors des murailles et alors que je rencontre une créature, je fais des recherches, fasciné, le doute m’habite désormais et pour toujours. L’île de Man et Belfast sont des territoires où je vis entouré des seuls miens, du moins c’est que je crois. J’occupe un poste, j’ai un métier, je travaille, je mène en somme une vie normale. Il est rare que je m’aventure hors des villes mais lorsque je le fais, c’est à mes risques et périls. Ma rétine ne peut apercevoir les créatures qui se cachent dans la brume et lorsque c’est le cas, c’est le plus souvent, trop tard. Si j’ai la chance de survivre, je suis emmené en captivité, l’enfer de l’esclavage commence alors pour moi. Si ces monstres ailés nous choisissent, je le découvre souvent par la suite, c’est pour notre constitution robuste, la beauté de nos traits ou alors, pour des connaissances dont ils voudraient s’emparer, à nos dépens. Dans leurs places fortes, s’échapper, tient de l’utopie, il ne nous reste plus qu’à obéir à nos dominants ailés. Je surveille l’horizon parfois, quelques secondes, bien qu’aucun espoir ne m’habite plus. Je sais que dans leurs griffes, je suis damné à jamais. La résignation est tout ce qu’il me reste. |
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